100 graines d'idées # 08

Sur une idée lancée le mardi 16 juin 2015 ici

Par Alice Brière-Haquet

ma participation à

« 100 graines d’idées »

consigne du DIMANCHE 28 JUIN 2015 - 100 graines d'idées #08

Allons aux faits...

Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi... et pourquoi dimanche ?

Hein ? Pourquoi... Vous avez 24h ^_^

Parce que… parce que…

oh, je ne sais pas du tout…

Une drôle d’idée due à je ne sais qui.

Récapitulons.

Que je fouille dans mes souvenirs

Une leçon de français ou d’histoire de quand j’étais encore en pleine découverte des mots

Oui, c’est cela. La mise à l’honneur de la lune, de Mars, de Mercure, de Jupiter et Venus.

Impossible de me souvenir pour la fin de la semaine.

Deux derniers jours de la semaine à l’accent anglais. Saturday, le jour de Saturne et Sunday, le jour du soleil.

Il aurait été plus simple de dire Saturdi et Soldi en français.

Mais non, il doit y avoir une question de religion là-dessous, il y a si longtemps.

Attention, n’y voyez pas une critique.

Nenni, juste une tentative d’explication dont je n’arrive pas à me satisfaire.

C’est comme cela, un point c’est tout.

Hélas, je vais être obligé d’aller lire les autres tentatives d’explications pour ne pas finir idiot en cette fin de semaine.

Eh bien oui, moi, Gustave, je n’ai aucune imagination.

© 10 juillet 2015 - 32 Octobre

100 graines d'idées # 07

Sur une idée lancée le mardi 16 juin 2015 ici

Par Alice Brière-Haquet

ma participation à

« 100 graines d’idées »

consigne du SAMEDI 27 JUIN 2015 - 100 graines d'idées #07

7e jour de notre parcours, soit 168 heures, ou 10080 minutes, qui font une semaine pleine ! Je pense que vous êtes dorénavant prêts à affronter les questions existentielles... So, c'est parti :

Mais que fait la petite souris de toutes ses dents ??

Hé, hé...

Moi Gustave, me trouve fort embarrassé en ce dernier samedi de juin. Une question un peu farfelue déposée sur mon bureau à laquelle je ne sais pas répondre. Je vais aller de ce pas voir Monsieur le Professeur Pivoine.

Avant tout, ne pas paraître ridicule en énonçant ma question

Inspiration, expiration… inspiration, expiration. Je me jette à l’eau. Je frappe à la porte de son bureau et me lance, en en oubliant même la formule de politesse.

-        Sachez, professeur Pivoine, que je dois rédiger pour demain un rapport très important et je n’ai pas un soupçon de réponse à proposer.

-        Quelle mouche vous a piqué cher ami ?

Une petite suggestion… retour en arrière... repassez derrière cette porte que vous avez franchie sans mon autorisation et reprenons tout dans le calme

Entrez. Ah c’est vous, Gustave. Quel bon vent vous amène ?

-        Fabuleux que vous soyez là, Professeur Pivoine. Bonjour. Sachez, Professeur Pivoine, que je dois rédiger pour demain un rapport très important et je n’ai pas un soupçon de réponse à proposer.

-        Arrêtez de vous inquiéter, Gustave. En quoi puis-je vous aider ?

-        Importante question à laquelle je dois apporter une réponse : « Mais que fait la petite souris de toutes ses dents ?? »

-        Très bien, très bien. Je pense que vous avez été rechercher tous les livres parlant de ce mythe. Car c’est un mythe, Gustave, une légende.

-        Là Professeur Pivoine, vous me décevez. Ce n’est pas un mythe, une légende. La petite souris existe belle et bien.

-        Attention Gustave. Vous me parlez de ses dents. Les siennes ou celles qu’elle va récupérer sous les oreillers des enfants. Alors ces C E S ou S E S. là est toute la question !

Les personnages, par entrée en scène

-        Gustave

-        Professeur Pivoine

© 8 juillet 2015 - 32 Octobre

100 graines d'idées # 06

Sur une idée lancée le mardi 16 juin 2015 ici

Par Alice Brière-Haquet

ma participation à

« 100 graines d’idées »

consigne du VENDREDI 26 JUIN 2015 - 100 graines d'idées #06

Un peu de paix et de légèreté :

La cabane de vos rêves ?

d'Éric Puybaret, expert en la matière...

La cabane des rêves de Gustave serait …

Au-dessus d’un petit ruisseau dont l’eau claire laisserait deviner le fond où des poissons multicolores se la couleraient douce.

Cabane de ses rêves éveillés perchée dans un chêne tricentenaire,

Arrimée solidement au tronc par un escalier en colimaçon,

Ballon aux deux hublots ouverts sur la nature environnante,

Affublée d’un toit panoramique,

Nid douillet ,

Éphémère refuge d’une nuit ou d’une vie restante.

Difficile de ne pas s’endormir paisiblement sous une nuit aux multiples étoiles filantes.

Essoufflé après avoir voulu monté quatre à quatre l’escalier,

Mon ami Gustave poussa délicatement la porte de la sphère,

Esquissa un pas de deux,

Sourit à la vie.

Rêveur, Gustave avait trouvé son domaine de prédilection,

Épuré, aux lignes si sobres.

Virevoltant dans la cabane si haut perchée

Gustave s’allongea dans le grand lit rond qui occupait tout le lieu

Savourant l’instant présent.

© 7 juillet 2015 - 32 Octobre

100 graines d'idées # 05

Sur une idée lancée le mardi 16 juin 2015 ici

Par Alice Brière-Haquet

ma participation à

« 100 graines d’idées »

consigne du jeudi 25 juin 2015 - 100 graines d'idées #05

Et la question du jour sera...

Une histoire à partir des syllabes do ré mi ?

-        Décidément, je n’y arriverai jamais à jouer du violon.

Obnubilé par cette idée, Gustave se lamentait dans son coin, son violon couché sur la petite chaise basse au coussin de velours rouge. Il tenait fermement l’archet dans sa main gauche. Il maudissait le cheval qui avait fait don de ses crins. C’étaient eux les fautifs s’il n’arrivait pas à tirer de sons harmonieux de cet instrument que lui avait donné le professeur Pivoine. -        Mon petit, vous en ferez meilleur usage que moi, j’en suis persuadé.

Rageant de ne pas être à la hauteur des espoirs de son mentor, Gustave commençait à se lamenter. -        Je suis un incapable. Déjà quinze heures de cours et que des couacs à me mettre sous la dent. Cet archet indiscipliné qui me file sous les doigts…

Énervé au plus haut point, Gustave ne savait où aller chercher du réconfort. Il était indigne de la confiance qu’avait mise en lui le Professeur Pivoine.

Mais c’est bien sûr, j’aurais dû y penser plus tôt.

Il suffit que … Gustave ne put continuer à s’abîmer dans ses pensées quand il entendit Professeur Pivoine dire :

-        Venez écouter Gustave. Je lui ai confié le violon de votre arrière-arrière-grand-père. Lui va savoir en sortir une mélodie qui va nous ravir les oreilles.

Les personnages, par entrée en scène

-        Gustave

-        Professeur Pivoine

©  2015 - 32 Octobre

100 graines d'idées # 04

Sur une idée lancée le mardi 16 juin 2015 ici

Par Alice Brière-Haquet

ma participation à

« 100 graines d’idées »

MERCREDI 24 JUIN 2015 - 100 graines d'idées #4

 Décrivez un lieu de votre quotidien qui pourrait servir pour une histoire fantastique.

Lequel des coins ou recoins de ce que j’ai sous les yeux pourrait servir de décor à une histoire fantastique ?

Il suffit de fermer les yeux et d’imaginer.

Étonnant comme lieu, par exemple, l’abri des trois chèvres : la cabane à Fifi, Riri et Loulou

Un enclos électrifié, une porte qui grince, un sol couvert de paille et de quelques épines restant du festin de pyracanthas. Une grande baignoire émaillée servant d’abreuvoir. Mais quel héros viendrait s’y réfugier ?

Déambulant entre les grands chênes, soudain une idée

Et s’il y avait une cabane dans le chêne bicentenaire dont le tronc est décoré de lierre. Pour accéder à sa plateforme, une échelle de corde. Aïe aïe les bras manquent de force pour me hisser tout là-haut. Quel dommage cela serait de ne pas profiter du bruissement du vent dans les branches !

Voici l’endroit rêvé pour une histoire fantastique

Ouvrez tout grand vos yeux. Pas la peine de vous pincer. Tout est réel.

Tout doucement, cheminez vers ce lieu tout en rondeurs qui va vous protéger quand vous aurez franchi son seuil.

Retirez vos chaussures

Entrez à petits pas

Quelle quiétude ! quelle sérénité !

Un instant, ancrez-vous sur ce parquet qui sent si bon le chêne, fermez les yeux, respirez doucement, doucement.

Oui, vous venez de pénétrer dans la yourte, sise au milieu de l’esplanade, bordée de chênes

Tout doucement, rouvrez les yeux et venez-vous asseoir sur un des cousins si moelleux, aux couleurs si chatoyantes.

Installez-vous confortablement.

Découvrez ce lieu… et peut-être une fée ou un lutin viendront vous y rejoindre.

© 6 juillet 2015 - 32 Octobre