vendredi 4 septembre 2015

Les vases communicants (46) : Wana Toctouillou

Dans le cadre des vases communicants de septembre 2015

Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre...

L’aventure du 1er vendredi du mois de septembre 2015 est ici.


Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accueillir Wana Toctouillou dont les mots sont habituellement ici.

Place aux mots mis en images de Wana ... après ceux de mai 2013, que vous pouvez relire ici et ceux de novembre 2014, ici.

Ce mois-ci, place aux premiers mots de Jean Giono, dans « Que ma joie demeure », un incipit qui m’est venu à l’esprit suite à une journée d’écriture, animée par Sophie Vallon, à Lourmarin.





Et si vous découvriez la contrainte à laquelle l'auteur s'est obligé pour écrire suite à l'incipit proposé.
La réponse demain, même heure, même endroit
Grand merci à Wana

Si vous voulez lire mes mots, c’est ici.


Et que sont les VASES COMMUNICANTS ?
Emprunté à Pierre Ménard, car pourquoi dire mal ce qui a été si bien dit :

« François Bon Tiers Livre et Jérôme Denis Scriptopolis sont à l’initiative d’un projet de vases communicants (au départ cela s’appelait le Grand dérangement, pas peu fier d’avoir trouvé ce titre de vases communicants) : Le premier vendredi du mois, chacun écrit sur le blog d’un autre, à charge à chacun de préparer les mariages, les échanges, les invitations. Circulation horizontale pour produire des liens autrement… Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre.
Beau programme qui a démarré le 3 juillet 2009 entre les deux sites, ainsi qu’entre Fenêtres / open space d’Anne Savelli et Liminaire. 

Si vous êtes tentés par l’aventure, faîtes le savoir sur le mur du groupe Facebook des vases communicants


1 commentaire:

Dominique Hasselmann a dit…

Même sans connaître la contrainte (ou alors parce que ?) on se laisse porter par ces mots scintillants et on préfère la NASA à la NSA...