Dans
le cadre des vases communicants de septembre 2015
Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre...
Place aux mots mis
en images de Wana ... après ceux de mai 2013, que vous pouvez relire ici et ceux de novembre
2014, ici.
Ce mois-ci, place aux premiers mots de Jean
Giono, dans « Que ma joie demeure », un incipit qui m’est venu à
l’esprit suite à une journée d’écriture, animée par Sophie Vallon, à Lourmarin.
Et si vous découvriez la contrainte à laquelle l'auteur s'est obligé pour écrire suite à l'incipit proposé.
La réponse demain, même heure, même endroit
Grand merci à Wana
Et
que sont les VASES COMMUNICANTS ?
« François Bon Tiers
Livre et Jérôme Denis Scriptopolis sont à l’initiative d’un projet de vases communicants (au départ cela s’appelait le Grand dérangement, pas peu fier
d’avoir trouvé ce titre de vases
communicants) : Le premier vendredi du mois, chacun écrit
sur le blog d’un autre, à charge à chacun de préparer les mariages, les
échanges, les invitations. Circulation horizontale pour produire des liens
autrement… Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre.
Beau programme qui a
démarré le 3 juillet
2009 entre les
deux sites, ainsi qu’entre Fenêtres / open space d’Anne Savelli et Liminaire.
Si vous êtes tentés
par l’aventure, faîtes le savoir sur le mur du groupe Facebook des vases communicants…
1 commentaire:
Même sans connaître la contrainte (ou alors parce que ?) on se laisse porter par ces mots scintillants et on préfère la NASA à la NSA...
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