Dans
le cadre des vases communicants de mars 2016
Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre...
Nous avons échangé, je lui ai proposé un texte à
plus long cours qui commencerait dès maintenant pour s’achever le 1er
vendredi du mois de mars 2016.
J’ai eu la grande chance qu’il accepte.
Donc plusieurs fragments se succéderont d’ici
mars.
1er
fragment
écrit suite à la proposition suivante :
écrit suite à la proposition suivante :
Une phrase trouvée sur un document traînant sur
mon bureau servira d’incipit…
"Nous sommes heureux de commencer les travaux que vous
nous avez confiés...."
La lettre commençait par ces mots.
L’écriture était de pleins et de déliés et
trahissait l’âge du document.
Irénée regrettait de ne pas avoir le temps
d’aller plus avant dans sa lecture. 8h30. Il lui fallait partir. Le musée
ouvrait à 9h précises et il devait s’y trouver un peu avant pour revêtir sa
tenue.
La lettre rangée dans le tiroir secret où il
venait de la trouver, il enfila rapidement son pardessus – le temps était au
gris.
Vite, sortir rejoindre le flux des gens pressés par les urgences du matin.
Vite, sortir rejoindre le flux des gens pressés par les urgences du matin.
à suivre
Grand merci à Aunryz
Le fragment suivant,
écrit par mes soins, sera ici dans quelques
heures ou jours... Un va-et-vient va s’installer entre nos deux blogs.
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